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2207. L’élevage et la valorisation des jeunes animaux

Bovins laitiers | L’élevage et la valorisation des jeunes animaux

Les quantités de lait et de concentrés consommées jusqu’au sevrage par les génisses laitières n’ont qu’un effet à court terme sur leurs performances

JURQUET J. (1), PHILIBERT A. (1), PLOUZIN D. (2), LE COZLER Y. (3)

(1) Institut de l’élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12
(2) Ferme expérimentale laitières des Trinottières, la Futaie, 49140 MONTREUIL SUR LOIR
(3) PEGASE, INRAE, Institut Agro, 35590 SAINT-GILLES, France

INTRODUCTION

La phase lactée peut avoir des répercussions sur la suite de la vie de la génisse laitière et notamment avant vêlage. De la naissance au sevrage, l’alimentation repose sur le colostrum, puis sur le lait (entier (LE) ou aliment d’allaitement (AA)), ainsi que sur l’apport de concentrés et de fourrages (fraction solide) (Sicot et al, 2013). La phase lactée doit permettre une croissance soutenue et assurer progressivement la transition alimentaire liquide-solide, afin qu’au sevrage, le veau soit devenu un ruminant capable de ne digérer que des aliments solides. Si les conséquences à court terme des différentes stratégies d’alimentation avant sevrage sont connues, leurs effets à moyen et long termes restent peu étudiés. Cette étude vise à étudier les effets des quantités de matières sèches et d’énergie ingérées (lait et concentrés) consommées avant sevrage sur les performances ultérieures des génisses laitières de renouvellement.

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