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1311. Economie

Economie | Ruminants (général)

Diversité de l’élevage français et dynamiques territoriales. Les enseignements des recensements agricoles

PERROT C. (1), BATAILLE J.-F. (2), BOSSIS N. (3), CAILLAUD D. (4), GALLOT S. (5), MORHAIN B. (6), MORIN E. (7), ROGUET C. (8), SARZEAUD P. (9)

Institut de l’élevage, (1) 149 Rue de Bercy, 75595 Paris CEDEX 12, (2) Manosque, (3) Poitiers, (3) (6) Nancy, (7) Toulouse, (9) Rennes,

(5) ITAVI 28, rue du Rocher, 75008 PARIS,

(8) IFIP la Motte au Vicomte, BP 35104, 35651 Le Rheu CEDEX

RESUME

Tous les dix ans, le recensement agricole offre une occasion unique de dresser un portrait complet et détaillé de l’agriculture française. Depuis les recensements agricoles de 1970, pour les surfaces fourragères, et de 1979, pour le cheptel, chaque nouveau recensement enregistre un recul global du nombre d’herbivores et de la part de la SAU qui leur est directement consacrée. En raison des différences de possibilités d’arbitrage et de substitution entre productions (pression foncière et potentialité des sols), le repli du cheptel n’est pas homogène sur le territoire. Le repli est plus prononcé dans les zones de polyculture-élevage, tandis qu’il est ou était moins prononcé dans les zones de montagne-piémonts. Durant la dernière période, le cheptel recule plus vite que les surfaces fourragères dans les zones de polyculture-élevage. La diversité des exploitations avec élevage, leurs structures, leurs manières de produire évoluent mais elles se spécialisent moins que les territoires.

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