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9502. Pâturage

Bovins laitiers | Pâturage | Systèmes d’élevage

Une approche de la gestion du pâturage tournant à l’échelle de la sole fourragère : cas des systèmes bovins laitiers

DURU M. (1), FIORELLI J.L. (2), DUCROCQ H. (1)

(1) INRA Agronomie, BP 27, 31320 Castanet Tolosan

(2) INRA SAD, Domaine du Joly, BP 35, 88500

INTRODUCTION

La réduction des distributions d’ensilage et de concentrés au cours de la période de potentielle de pâturage, de même que la recherche d’une valorisation élevée des intrants azotés en terme de production laitière requiert la mise en œuvre d’un certain nombre de règles de conduite, concernant notamment la biomasse résiduelle et l’intervalle entre deux défoliations dans le cas d’un pâturage tournant ( Le Du et al ., 1979). Une quantité d’herbe résiduelle trop importante après pâturage augmente les pertes par litière et diminue la qualité de l’herbe offerte, et ce d’autant plus que l’intervalle entre deux défoliations est long. A l’inverse visé une quantité d’herbe résiduelle trop faible réduit la quantité ingérée.

Les variations de croissance de l’herbe au cours de la saison de pâturage et entre années, impliquent d’ajuster l’offre d’herbe à pâturer soit par la quantité d’azote apportée, soit par l’ajout ou le retrait de parcelles ; Afin d’avoir une vue d’ensemble des ressources à pâturer afin d’anticiper et de guider les décisions d’ajout ou de retrait de parcelles, nous proposons de définir des seuils minimum et maximum de volume d’herbe disponible par vache au niveau de la sole pâturée ( Fiorelli, 1992 ; Bossuet et Duru, 1994).

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